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Prise de vue à Wad-ben-Naga, Soudan |
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Multirotors Cette technique a désormais remplacé cerfs-volants et ballon captif L'acquisition de photographies pour de la restitution 3D est plus facile à réaliser avec un multirotors. La durée des vols avec les drones récents (Phantom, Mavic...) autorise des mosaïques photographiques sur de grandes emprises. Pour travailler avec un gros reflex numérique il faut disposer d'un gros drone pro. Il excelle dans la prise de vue verticale, la réalisation de clichés pour effectuer du relevé "pierre à pierre", ainsi que la réalisation de clichés pour la modélisation 3D qui intéresse de plus en plus les archéologues. Dans le cadre actuel de la législation la hauteur de prise de vue est limitée à 150 mètres. Un atout majeur : sa rapidité de mise en œuvre. Le vent, l'humidité... et le manque de pratique sont les facteurs limitants de cette technique ! Cerf-volant Photographies verticales : monuments, tombes, fouilles, suivi de chantier. Une intégration des photos dans un S.I.G est possible . Avec un cerf-volant il est possible de maintenir la nacelle à poste fixe de façon durable et-ou répétitive à l’identique dans le temps. Les changement de la direction du vent peuvent parfois rendre le cadrage délicat lors des prises de vue à basse altitude. Photographies obliques ou panoramiques de "prestige" (publication) ou pour de la 3D. Clichés stéréoscopiques (par déplacement sur le terrain). Aide à la réalisation de grands levés topographiques, mosaïques photographiques.
C'est une technique très peu onéreuse et qui permet de très longs vols. Je n'utilise plus de cerfs-volants en France depuis 2012 et au Soudan depuis 2017 mais cette méthode a toujours de nombreux adeptes. Ballon captif Photographies identiques à celles réalisées avec un cerf-volant Les difficultés du déplacement du ballon, l'encombrement, la sensibilité au vent, la fragilité d'un ballon latex, le coût (hélium, ballon en TPU) et les difficultés d'approvisionnement en gaz sont les éléments limitants de la méthode. Sauf à utiliser une triangulation avec deux fils, le fil de retenue est toujours dans le champ. La moindre brise déplaçant le ballon, le positionnement exact et durable au dessus d'une zone de travail est parfois très aléatoire. C'est une technique que j'ai abandonnée depuis 2011 en raison des difficultés d'approvisionnement en hélium.
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Mise à jour N° 50 (mai 2024) |