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Préparation du dispositif et accrochage du système photographique sous un ballon latex |
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Ballon latex en cours de montée |
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Au centre la personne chargée de la retenue du ballon réalise les variations d'altitude en relâchant plus ou moins de fil. À gauche, comme pour la prise de vue sous cerf-volant, le photographe contrôle la prise de vue en orientant la nacelle. La manipulation du ballon doit être réalisée avec beaucoup de précautions pour éviter tout risque d'éclatement en particulier avec une sphère en latex. Un mini-reportage et une petite vidéo (voir en bas de la page) permettent de mieux comprendre les conditions de travail.
Avec une sphère en latex, si la durée de la manip photographique est importante (3-6 h), des regonflages sont nécessaires afin de restaurer le lift du ballon (force ascensionnelle). Les pertes journalières d'hélium avec des sphères ou gélules type uréthane sont par contre minimes et permettent un travail sur plusieurs jours.
Le travail avec un ballon latex ne peut se faire que par vent nul. En revanche, une gélule en TPU (Thermo Plastique Uréthane) permet de réaliser des prises de vues avec une brise de quelques mètres par seconde. |
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Transports : les déplacements en ballon latex ne peuvent être réalisés qu'à pieds en raison de la fragilité de l'enveloppe. Une gélule en TPU beaucoup plus solide peut être transportée dans un utilitaire adapté (photo ci-contre). Sur le terrain c'est toujours à pieds que l'on accède au site en étant très attentif aux obstacles vulnérants, arbres, épineux etc. |
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Déplacement au dessus de la falaise de Naqsh-e Rostam (Iran) avec un ballon gélule |
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Sortie du ballon en TPU dans la plaine de Persépolis |
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